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    De la haine? Non. Un profond mépris? Oui.
    Pourquoi te haïrais-je? La haine fait partie des sentiments les plus sublimes qu'il soit, il me semble, au même titre que l'amour;
    Ils sont l'antithèse l'un de l'autre mais, la haine, n'en demeure pas moins un sentiment noble.
    Et je crois que l'on ne peut vraiment haïr que quelqu'un que l'on a aimé ou respecté.
    Or aucun de ces sentiments ne m'ont touché à ton égard.
    Ma lettre suait le mépris et le dégoût.
    Je te l'ai dit et te le redit : tu te traines dans la boue par ton attitude.
    Il ya toujours deux façons d'être libertin: le libertin philosophique et le vulgaire libertin.
    N'as tu rien retenu de toutes mes leçons?
    Apparamment, non.
    Vas, vas, suis ton chemin, mais saches que je ne serais plus sur ta route.
    J'ai honte de ce que tu es devenu. "J'ai créé un monstre".
    Moi, je suis restée dans le registre du tragico-sublime car malgrè tous mes travers, j'ai su garder des principes.
    Principes que je continue à appliquer à la lettre. Toi? Tu as non seulement perdu toutes formes de moralité mais également bafoué tous tes principes les plus fondamentaux.
    Tu t'es perdu toi même en faisant cela. Le jeu est donc fini.
    Adieu, adieu.


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